Pardon mais c’est quoi cette équipe?

autant certains joueurs méritent leur place, autant certains je comprends pas!

rougerie, servat ont pas joué et le dernier est à la retraite!

Tant qu’a faire Jauzion ,Elissalde, N’tamak ,Tournaire auraient pu être appelés aussi……

certains entraineurs reconnaissent les qualités de PALISSON, à moins que cela serve aussi à des prises de contact……

C’est n’importe quoi, comme dit plus haut Bruno aurait mérité plus que servat, skrela? Et Lopez qui est en canne en ce moment et il envoie du jeu, ça aurait été impeccable pour les barbarians…

HS L’ITW de BERNIE à LaPROVENCE

Comme indiqué dans La Provence des Sports d’hier, la défaite à Oyonnax (25-22), samedi, a eu du mal à passer au RC Toulon. Notamment pour Bernard Laporte. Après le match, le manager général du club varois s’est adressé à ses joueurs, déjà battus à trois reprises et victorieux sans vraiment convaincre jusqu’à présent, pour leur signifier de se ressaisir au plus vite. Dans le cas contraire, le technicien tarnais pourrait effectivement être amené à s’interroger franchement sur son avenir personnel et son intérêt de rester à la tête d’un groupe qui ne chercherait pas à se surpasser. Depuis, Laporte a évacué la frustration d’Oyonnax. Fini, le léger coup de mou. C’est un entraîneur revigoré et toujours aussi ferme qui s’est exprimé, hier.

D’abord, comment vous sentez-vous sur un plan personnel ?
Bernard Laporte : « (Il sourit) Ça va bien. Je n’ai pas eu spécialement de coup de blues. C’est vrai, j’ai eu un moment d’énervement et j’ai surtout voulu avoir un moment de vérité avec mes joueurs, c’est normal.
Comme je leur ai dit : ‘Moi, je n’ai pas que ça à faire dans ma vie ; j’ai cette chance-là. Dès lors, si vous n’avez pas envie, dites-le moi, car si c’est le cas, je vais partir.’ C’est aussi simple que ça. Je ne leur ai pas annoncé que j’allais démissionner, mais je leur ai rappelé une chose : ‘Qu’on soit d’accord : avez-vous envie ou pas ? Si vous n’avez pas envie, prévenez-moi.' »

C’est un discours qui en dit long sur ce que vous ressentiez à ce moment-là…
 » Je veux avoir un langage de vérité avec mes joueurs. Ils composent l’effectif du RCT ; je les ai recrutés. Ce sont des gars que j’aime beaucoup et j’ai envie de les entendre parler. Je ne viens pas au club avec un fouet ni un bâton, encore moins avec un revolver. Je ne suis pas un cow-boy. Je veux bien être le grand frère qui, de temps en temps, recadre les choses. Mais si je dois m’y employer en permanence et si je dois être constamment derrière les mecs pour leur rappeler les principes de base, ça ne me plaira pas, c’est sûr. On a la chance d’exercer un sport de haut niveau. En l’occurrence, le rugby, notre passion. Qu’ils aient au moins conscience qu’autour de nous, la vie est difficile. Du coup, s’ils n’ont pas envie – et à la limite, je peux le comprendre -, qu’ils me le fassent savoir. Les choses seront claires comme ça. »

Elles le sont davantage aujourd’hui ?
 » Les joueurs le savent : qu’ils ne comptent pas sur moi pour passer deux mois à les flageller. J’ai passé l’âge !  »

On sent que ce revers à Oyonnax vous a personnellement marqué…
 » Ce n’est même pas ce revers, en particulier. Cela fait maintenant quatre matches (à Biarritz, à Castres, devant Bayonne au stade Mayol et donc à Oyonnax, NDLR) où certains de mes joueurs n’ont pas les attitudes nécessaires pour le haut niveau. Face à Bayonne (18-12), il y a eu des stats décevantes. Même chose à Castres (22-15). Au bout d’un moment, ça fait beaucoup. J’ai donc posé la question suivante à mes joueurs : ‘Est-ce que vous n’avez plus envie de jouer au rugby ou quoi ? Répondez-moi !’

Mais à quoi est dû ce comportement, justement ?
 » Il ne s’agit pas d’un renoncement. Certains joueurs, d’abord, sont en méforme. Ensuite, c’est vrai, on a beau leur rappeler les efforts à fournir, le classement peut fausser, chez eux, la perception des choses. Ils ne jouent pas bien, mais ils étaient premiers (après la laborieuse victoire arrachée devant Bayonne, le 21 septembre). Or, il y avait eu un concours de circonstances favorables. Il faut donc recadrer tout ça et surtout avoir un langage de transparence. Moi, je suis prêt à tout accepter d’eux. Mais qu’ils me le disent.  »

N’êtes-vous cependant pas lassé de devoir toujours recadrer vos joueurs depuis le début de la saison ?
 » Justement, c’est ce que je leur dis. Je ne passerai pas mon temps à faire ça. J’aime beaucoup ce club et les joueurs qui composent l’équipe, ça, c’est clair. Mais je veux que l’on se dise les choses franchement.On peut faire de mauvais matches, commettre des en-avants, marquer des pénalités ; c’est arrivé à tout le monde. On essaie de rectifier le tir. Mais que l’on se trompe de positionnement sur le terrain, que l’on fasse des fautes stupides qui nous pénalisent… Tout ça est insupportable, car cela dénote un manque d’envie et de solidarité notamment. Il faut donc reconquérir ces bases et pour y parvenir, il faut avoir tout simplement envie de jouer.  »

Est-ce si compliqué que ça, pour un groupe, de se remobiliser après avoir décroché un titre (la H Cup), la saison dernière ?
 » Pour moi, non. Mais je ne suis pas un joueur. En tout cas, ce qui a été réussi, c’est fini. Faisons abstraction de tout ça. Sinon, il faut arrêter. On se dit alors : ‘J’ai été champion d’Europe et puis, c’est tout.’ Or, la beauté du sport, justement, c’est qu’il y a une remise en question permanente. Comme je ne cesse de le dire aux joueurs : ‘Une carrière et les sacrifices qu’elle implique ne durent pas toute une vie ! C’est une question de dix ou quinze ans, quand on a la chance de prolonger jusqu’à l’âge de 35 ans. Il faut donc en profiter.’ On a été champions d’Europe, et alors ? Maintenant, il faut le redevenir. On doit avoir constamment de l’ambition. Le groupe n’en manque pas, je le sens. Mais vous savez, ça va vite. Il suffit qu’il y ait quatre ou cinq joueurs en méforme pour que l’équipe patine.  »

Cela vous préoccupe-t-il ?
 » Au classement, on est troisièmes en ayant joué cinq fois à l’extérieur. Tout n’est donc pas sombre. Mais, je le répète, c’est l’attitude de certains qui m’a dérangé le plus. Quand je vois que l’on marche et que l’on n’est pas concentré, ça m’exaspère, car ce n’est pas du haut niveau. C’est un manque d’implication et je ne peux pas le supporter dans un monde professionnel.  »

Michalak pas prêt
Victime d’une luxation de l’épaule avec le XV de France et opéré en juin, Frédéric Michalak sera insuffisamment rétabli pour le match face à Clermont, samedi, à l’Allianz Riviera de Nice.

Ah bèh, au moins, ils pourront s’éclater vu que la devise des Barbarians, c’est le jeu à outrance !
J’espère qu’ils vont se la régaler (:

Smith …OK c’est mérité mais Palisson ??

FORESTIER – MACH – POUX
TCHALE – SAMSON
VOSLOO – CLASSENS – BONNAIRE
KOKOT – TD
SMITH -LAMERAT- ROUGERIE – SIVIVATU
PALISSON

De quoi bien s’amuser tout de même!!!