L’entraîneur des avants du Rugby Club Toulonnais, Eric Dasalmartini s’est confié dans les colonnes du journal régional Var-matin pour évoquer la disparition de Christophe Dominici.

Ce-dernier indique qu’il n’aurait jamais imaginé une telle horreur.

Il rend hommage à l’ancien international Français et rappelle combien il pouvait anéantir des défenses sur les terrains de jeu. Extrait:

« C’est un gros coup derrière la tête. Je ne m’attendais pas à ça. Quand il a commencé au RCT, j’étais en fin de carrière. C’était un enfant du pays, de Solliès, un garçon charmant et attachant, plein de folie. Je revois son sourire, son dynamisme énorme. Sur le terrain, il appelait tous les ballons pour traverser les défenses. Il avait toujours envie de franchir. Il avait une vitesse énorme, c’était une balle ! Quand il a rejoint le Stade Français, il a franchi un palier et a connu une carrière magnifique. Je l’ai toujours suivi et parfois quand il revenait à Toulon, on se voyait. Il pétillait, avec son franc-parler. Christophe était un battant, toujours présent pour monter au front. Il était capable de renverser des montagnes. »