Erwan Dridi : « Ce n’est pas parce qu’on est ailier qu’il faut oublier de défendre »
Erwan Dridi : « Ce n’est pas parce qu’on est ailier qu’il faut oublier de défendre »
19 novembre 2020 - 10:08
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Le polyvalent trois-quarts du Rugby Club Toulonnais, Erwan Dridi s’est confié via Rugbyrama pour évoquer son début de saison avec le XV de la Rade.
Questionné sur ses essais marqués contre Brive et Agen, le jeune Varois explique qu’il a seulement été à la conclusion de ces trois mouvements.
Il indique qu’il s’agit d’essais collectifs. Extrait:
« Je tiens d’abord à noter que les trois essais étaient collectifs : je n’étais qu’à la conclusion de bons mouvements de trois-quarts. C’est toujours plaisant de marquer, mais quand toute l’équipe a touché le ballon, c’est incroyable… »
On a également vu qu’Erwan Dridi n’hésitait pas à se montrer actif dans les rucks bien qu’il soit un arrière. Il avoue avoir toujours apprécié les rucks et les plaquages.
Il souhaite être un joueur complet. Extrait:
« Ce n’est pas parce qu’on est ailier qu’il faut oublier de défendre. Aujourd’hui, j’aspire à être complet, et j’ai la chance d’avoir toujours aimé les rucks, les plaquages. Si je veux jouer au plus haut-niveau, je ne peux me reposer que sur un type de qualités. »
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Ce garçon a tout compris , je l’apprécie de semaines en semaines !.. Continue de nous régaler Erwan !..
En effet il s’améliore je l’ai vu plus présent dans le dernier match il est allé plus au front il ne reste pas a l’aile quoi…
On a deux ailiers gratteurs avec Gabin et lui, ça court pas les rues !
Erwan, continue à jouer comme cela : tu me régale !
C’est tout à son honneur, mais sauf erreur de ma part le plaquage fait partie des fondamentaux du rugby. D’autant plus qu’avec les nouvelles règles ce rajoute les competences de savoir gratter un ballon.
Il a les deux tant mieux pour lui et pour nous.
Néanmoins je ne comprends pas qu’au niveau pro on puisse parler d’être joueur de rugby et de ne pas plaquer.
Il est vrai que nous avons 2, 3 non plaqueurs dans le championnat,y compris un international, et ça a l’air de ne pas déranger les sélectionneurs.
D’autant plus qu’ils ont des coachs dédiés à cet effet.