J-C Skrela ne veut pas recevoir de leçon de Laporte

J-C Skrela ne veut pas recevoir de leçon de Laporte

16 mai 2013 - 20:24

16 Commentaires

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Pour RMC Sport, Jean-Claude Skrela, le DTN du rugby français, a répondu aux attaques de Bernard Laporte, lequel avait déclaré que les convocations de trois joueurs étrangers en équipe de France était un « camouflet » pour la Direction Technique Nationale.

« Je n’ai pas envie de répondre mais il y a des gens qui n’ont pas de mémoire. Quand je vois le nombre de joueurs non-sélectionnables qui jouent dans tous les clubs… Il me dira combien il en a dans son club (Toulon). Je ne peux pas le comprendre. Bernard Laporte a besoin de résultat. Il n’est pas là pour former des joueurs. Aujourd’hui, le Top 14 est le plus gros championnat d’Europe voire du monde sur le plan financier. Je n’ai pas envie de recevoir de leçon. »

Source: rmcsport.fr

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16 Commentaires

  1. Georges 16 mai 2013 at 20h- Répondre

    😳 😳 😳 😳 👿 …Jean Claude….notre Monsieur Science infuse de la DTN…comme il sait tout…n’accepte aucune leçon…comme le susurrait PASCAL c’est… » l’éminence de la science… » et comme l’aurait surenchéri BOILEAU… » un pédant enivré de sa vraie science « …….ne doit pas boire de la mousse tous les jours….que de l’eau..que de l’eau…que de l’eau…..comme BOILEAU……Allez TOULON.

  2. MG83700 16 mai 2013 at 20h- Répondre

    le planqué de la Fédé, pour la carte de visite, les boufs , les cocktails, les places bien placées et j’en passe. Encore un qui ferait bien de venir à MAYOL , histoire de…..

  3. billkm 16 mai 2013 at 20h- Répondre

    Comme son fils, il est une des plus belles mascarade du rugby français…

  4. Tof83 16 mai 2013 at 20h- Répondre

    billkm:
    Comme son fils, il est une des plus belles mascarade du rugby français…

    Il a vraiment tort de nier tous les jeunes qui sortent du centre de formation de Toulon mais en revanche il a été un grand joueur !

  5. MG83700 16 mai 2013 at 20h- Répondre

    c’est sûr la formation Toulousaine avec SKRELA à la Fédé et PELOUS à MARCOUSIS, elle marche pour piquer les meilleurs Français dans les autres clubs. Il veut un nom ? FICKOU

  6. Gino83 16 mai 2013 at 20h- Répondre

    Qu est qui vient nous prendre la tête lui y a une règle pour les jiffs et le Rct est obligé de l appliquer Laporte dit juste ça pour savoir si Andreu martial ou mm Martin sont Mons bon que le clermontois qu en 3 eme ligne y a des lapandry gunther voilà c ce que veut dire nanard allez toulon

  7. Gino83 16 mai 2013 at 20h- Répondre

    MG83700:
    c’est sûr la formation Toulousaine avec SKRELA à la Fédé et PELOUS à MARCOUSIS, elle marche pour piquer les meilleurs Français dans les autres clubs. Il veut un nom?FICKOU

    Y en a une autre qu ils ont pique kakovin futur jiff

  8. danyc83 16 mai 2013 at 21h- Répondre

    Ah bon ? On ne forme pas des jeunes à Toulon????

  9. JayB 16 mai 2013 at 22h- Répondre

    Ah bin 3 fois rien, comme selectionnables QUI ONT LE NIVEAU, parce que parler uniquement de joueurs selectionables ca ne veut rien dire. Dans ce cas Mdm a enormement de joueurs selectionables, mais ont-ils le niveau? Nous avons donc:

    Orioli, Ivaldi, Gunther, Suta, Michalak, TB, Bastareaud, Mermoz, Palisson, Martin (dont 4 formes chez nous). 7 qui ont au moins ete dans le groupe France, et 2 qui devraient deja y etre. Parce que Guirado, je m’excuse mais merde.

    Sans compter Roux qui fait la CdM avec les jeunes, donc il est selectionne aussi et selectionnable (bien que n’ayant pas encore le niveau pour l’EDF, assuremment). Chiocci n’est pas loin non plus d’avoir le niveau pour avoir le droit a un test, comme ont eu droit Lapandry, Lauret, Buttin, Flanquart… surtout quand on voit ses matchs et son potentiel (+ le fait qu’il est passe par toutes les selections jeunes). Sans parler de Bruni qui commence a pousser et s’il joue la saison prochaine, risque d’exploser.

    Voila JC, ca va comme reponse? Par contre maintenant j’aimerais bien que tu me dises quel autre club a part le ST et l’ASM est capable de mettre a disposition un tel vivier de jeunes joueurs ayant l’experience d’etre premiers du Top 14, demi finalistes du top 14 et finalistes de Hcup cette annee, et finalistes du top 14 et de la Amlin cup l’annee derniere.

    Allez, bisous JC.

  10. Nono006 16 mai 2013 at 22h- Répondre

    D’un autre côté, Laporte n’avait pas hésité lorsqu’il était à la tête de l’EDF à selectionner des Tony Marsh ou des Pieter De Villiers. Il faut qu’il s’en souvienne. Mais bon, la réponse de Skrela qui n’a envie ni de répondre ni de recevoir de leçon est en effet assez pleine de suffisance. Pas à la hauteur de ses fonctions en tous cas.

  11. RALFIN 16 mai 2013 at 23h- Répondre

    je ne suis pas certain du tout que les 3 selectionnes « etrangers » SOIT d un tel niveau,que l on soit incapables de trouver equivalent ou superieur parmi les francais,ca me semble plutot un aveu d impuissance ou limite incompetence,dans le passe un melville etait yraiment un plus a tout point de vue sportivement et humainement
    maintenant,POUR moi aussi,l intervention de laporte me semble deplace et malvenu,c est plutot une intervention politique et la ,je crois avec son bilan et celui du gouvernement dont il faisait partie,effectivement,il n a pas de lecon a donner,qu il reste dans son role de coach du rct,la il est plutot bon et competent,et on peut l ecouter

  12. chris83 16 mai 2013 at 23h- Répondre

    Rugby : RCT – Clermont, duel à tire-d’aile source LAPROVENCE

    Les Toulonnais Palisson et Wulf sont avertis : le duo d’ailiers Sivivatu-Nalaga est l’une des grandes forces de l’ASM

    Avec les grosses cylindrées européennes, les failles sont forcément une rareté, pour ne pas dire quasi-inexistantes. Ces écuries-là sont généralement un assemblage de maillons forts. Ce sont de véritables machines de compétition dotées de secteurs de jeu tout particulièrement performants.

    Au RC Toulon, en plus de la charnière Michalak-Wilkinson, les 2e et 3e lignes – soit Botha/Kennedy et Fernandez Lobbe/Masoe/Rossouw – peuvent être largement considérées comme telles. À Clermont, entre autres domaines, il est un compartiment du jeu qui impressionne franchement : les ailes.

    Dans les rangs auvergnats deux joueurs monstrueux occupent ces couloirs : Sitiveni Sivivatu (100 kg, 1,85 m) et Napolioni Nalaga (99 kg, 1,95 m). Comment vous dire, avec ces deux-là, c’est comme si vous aviez affaire à des bûcherons capables de courir à la vitesse du vent. Il ne faut pas être de grands devins pour évaluer les dégâts de leurs trajectoires après coup. Allez donc demander aux Toulousains qui, voici un peu plus d’un mois, se sont pris de plein fouet les fulgurances de ces poids-lourds.

    La double menace incarnée par les fusées Sivivatu et Nalaga

    Ce jour-là, l’équipe haut-garonnaise, qui reste plus que jamais une référence européenne, avait été laminée par les chevauchées surpuissantes de Sivivatu, auteur d’un doublé, ce qui portait à sept son capital essais en cette phase régulière du Top 14.

    Son compère de l’autre aile, lui, a terminé meilleur marqueur du championnat avec treize essais, dont un inscrit face à Toulon, au stade Michelin (24-21).

    Le RCT a bien sûr identifié la double menace incarnée par les fusées Sivivatu et Nalaga. Ailiers aux gabarits différents, Alexis Palisson (80 kg, 1,75 m) et Rudi Wulf (90 kg, 1,82 m) savent à quoi s’attendre, samedi, à l’Aviva Stadium de Dublin.

    « Pour moi, c’est bien simple, Sivivatu, par exemple, est le meilleur ailier des All Blacks (45 sélections entre 2004 et 2012), estime le second nommé, compatriote de l’actuel Clermontois. Il est extrêmement vif et athlétique. Aux Chiefs, son précédent club, il était déjà impressionnant et il s’est désormais parfaitement intégré à l’ASM (rejointe en 2011). En fait, pour l’ailier qui est en face de lui, c’est, à chaque fois, un vrai test pour évaluer son propre niveau. Il faut être à 100 %. Sinon, ça peut être très difficile… »

    Wulf et Palisson l’ont pris en compte. « Le plus compliqué avec Sivivatu, poursuit le Néo-Zélandais du RCT, c’est qu’il se met souvent en position de ’10’ pour jouer des un-contre-un. De plus, grâce à ses solides appuis, il parvient fréquemment à faire des passes après contact. »

    « Veiller à monter vite pour réduire les espaces »

    « Il s’agira d’être au top, car Nalaga et Sivivatu sont d’incroyables finisseurs, souligne Palisson, qui reste tout de même sur une probante série et un triplé face à Agen. Au début de cette saison, j’avais retrouvé le niveau qui avait été le mien en 2011, mais depuis, j’ai été confronté à deux grosses blessures (K.-O. en août 2012, puis tassement vertébral en septembre). J’ai quand même laissé des plumes sur ces deux coups durs. Là, je me sens mieux. J’ai de bons repères sur le terrain et j’arrive à trouver des espaces qui me faisaient encore un peu défaut dans un passé récent. »

    Bernard Laporte apprécie forcément le net regain de l’international français, lui qui n’avait pas hésité à le placer devant ses responsabilités, la saison dernière. « On le dit souvent à Alex : quand tu évolues à ces postes-là, il faut que l’on puisse jouer sur toi, raconte le manager général du RCT. Dès lors, à cette place, il s’agit d’être ambitieux dans l’animation. Ainsi, quand on déplace le jeu vers l’extérieur, l’ailier doit être capable de conserver le ballon. De ce côté-là, justement, Alex fait énormément d’efforts, tout comme Rudi, et on est davantage performants dans ce domaine-là, dorénavant. »

    Il s’agira de l’être maintenant devant le duo Sivivatu-Nalaga. « Face à de tels joueurs, on doit veiller à monter vite pour réduire les espaces, décrypte Laporte. Mais c’est aussi une question de volonté. Ce n’est pas une histoire de technique ou de poids. Il faut ainsi aimer s’affronter à un-contre-un et même si l’on tombe au sol, eh bien, ce n’est jamais perdu . On doit continuer à batailler pour qu’on puisse rejouer ces ballons-là. Aujourd’hui, un ailier, ce n’est pas seulement un joueur de débordement. »

    Il doit être complet. Cela devient même indispensable en vue des duels qui s’annoncent à l’Aviva Stadium.

  13. Rctof 17 mai 2013 at 03h- Répondre

    C est nous qui avons le meilleur marqueur smith 9 essais en tres peux de match 🙂

    chris83:
    Rugby : RCT – Clermont, duel à tire-d’aile source LAPROVENCE

    Les Toulonnais Palisson et Wulf sont avertis : le duo d’ailiers Sivivatu-Nalaga est l’une des grandes forces de l’ASM

    Avec les grosses cylindrées européennes, les failles sont forcément une rareté, pour ne pas dire quasi-inexistantes. Ces écuries-là sont généralement un assemblage de maillons forts. Ce sont de véritables machines de compétition dotées de secteurs de jeu tout particulièrement performants.

    Au RC Toulon, en plus de la charnière Michalak-Wilkinson, les 2e et 3e lignes – soit Botha/Kennedy et Fernandez Lobbe/Masoe/Rossouw – peuvent être largement considérées comme telles. À Clermont, entre autres domaines, il est un compartiment du jeu qui impressionne franchement : les ailes.

    Dans les rangs auvergnats deux joueurs monstrueux occupent ces couloirs : Sitiveni Sivivatu (100 kg, 1,85 m) et Napolioni Nalaga (99 kg, 1,95 m). Comment vous dire, avec ces deux-là, c’est comme si vous aviez affaire à des bûcherons capables de courir à la vitesse du vent. Il ne faut pas être de grands devins pour évaluer les dégâts de leurs trajectoires après coup. Allez donc demander aux Toulousains qui, voici un peu plus d’un mois, se sont pris de plein fouet les fulgurances de ces poids-lourds.

    La double menace incarnée par les fusées Sivivatu et Nalaga

    Ce jour-là, l’équipe haut-garonnaise, qui reste plus que jamais une référence européenne, avait été laminée par les chevauchées surpuissantes de Sivivatu, auteur d’un doublé, ce qui portait à sept son capital essais en cette phase régulière du Top 14.

    Son compère de l’autre aile, lui, a terminé meilleur marqueur du championnat avec treize essais, dont un inscrit face à Toulon, au stade Michelin (24-21).

    Le RCT a bien sûr identifié la double menace incarnée par les fusées Sivivatu et Nalaga. Ailiers aux gabarits différents, Alexis Palisson (80 kg, 1,75 m) et Rudi Wulf (90 kg, 1,82 m) savent à quoi s’attendre, samedi, à l’Aviva Stadium de Dublin.

    « Pour moi, c’est bien simple, Sivivatu, par exemple, est le meilleur ailier des All Blacks (45 sélections entre 2004 et 2012), estime le second nommé, compatriote de l’actuel Clermontois. Il est extrêmement vif et athlétique. Aux Chiefs, son précédent club, il était déjà impressionnant et il s’est désormais parfaitement intégré à l’ASM (rejointe en 2011). En fait, pour l’ailier qui est en face de lui, c’est, à chaque fois, un vrai test pour évaluer son propre niveau. Il faut être à 100 %. Sinon, ça peut être très difficile… »

    Wulf et Palisson l’ont pris en compte. « Le plus compliqué avec Sivivatu, poursuit le Néo-Zélandais du RCT, c’est qu’il se met souvent en position de ’10′ pour jouer des un-contre-un. De plus, grâce à ses solides appuis, il parvient fréquemment à faire des passes après contact. »

    « Veiller à monter vite pour réduire les espaces »

    « Il s’agira d’être au top, car Nalaga et Sivivatu sont d’incroyables finisseurs, souligne Palisson, qui reste tout de même sur une probante série et un triplé face à Agen. Au début de cette saison, j’avais retrouvé le niveau qui avait été le mien en 2011, mais depuis, j’ai été confronté à deux grosses blessures (K.-O. en août 2012, puis tassement vertébral en septembre). J’ai quand même laissé des plumes sur ces deux coups durs. Là, je me sens mieux. J’ai de bons repères sur le terrain et j’arrive à trouver des espaces qui me faisaient encore un peu défaut dans un passé récent. »

    Bernard Laporte apprécie forcément le net regain de l’international français, lui qui n’avait pas hésité à le placer devant ses responsabilités, la saison dernière. « On le dit souvent à Alex : quand tu évolues à ces postes-là, il faut que l’on puisse jouer sur toi, raconte le manager général du RCT. Dès lors, à cette place, il s’agit d’être ambitieux dans l’animation. Ainsi, quand on déplace le jeu vers l’extérieur, l’ailier doit être capable de conserver le ballon. De ce côté-là, justement, Alex fait énormément d’efforts, tout comme Rudi, et on est davantage performants dans ce domaine-là, dorénavant. »

    Il s’agira de l’être maintenant devant le duo Sivivatu-Nalaga. « Face à de tels joueurs, on doit veiller à monter vite pour réduire les espaces, décrypte Laporte. Mais c’est aussi une question de volonté. Ce n’est pas une histoire de technique ou de poids. Il faut ainsi aimer s’affronter à un-contre-un et même si l’on tombe au sol, eh bien, ce n’est jamais perdu . On doit continuer à batailler pour qu’on puisse rejouer ces ballons-là. Aujourd’hui, un ailier, ce n’est pas seulement un joueur de débordement. »

    Il doit être complet. Cela devient même indispensable en vue des duels qui s’annoncent à l’Aviva Stadium.

  14. Hellboy 17 mai 2013 at 07h- Répondre

    Finalement, D.T.N. ça consiste surtout a raccompagner de Nouvelle-Zélande son fils en larmes après qu’il se soit fait virer de l’équipe de France.

    C’est un emploi familial d’accommodation, en quelques sorte

    #VoleursDuRugby

  15. philou83 17 mai 2013 at 08h- Répondre

    billkm:
    Comme son fils, il est une des plus belles mascarade du rugby français…

    Vraiment n’importe quoi ce commentaire. Skrela a été avec Villepreux un excellent entraineur, que ce soit à Toulouse ou en équipe de France (tout le monde se souvient de la demie finale de 1999 face aux blacks, une référence)
    Sur le sujet dont il est question ici, on peut regretter que l’équipe de France fasse confiance à autant d’étrangers (même si les autres nations le font encore plus) mais il est évident que Laporte n’est pas le mieux placé pour l’ouvrir quand on voit le taux d’étrangers au RCT (et on n’est pas les seuls dans ce cas, loin de là, c’est pas par hasard si PSA doit appeler des étrangers)

  16. Eric 17 mai 2013 at 09h- Répondre

    Orioli
    Ivaldi
    Chilachava
    Chiocci
    Bruni
    Martin
    Gunther
    Munoz
    Mikautadze
    Roux
    Y en a assez, ou on continue ?