Jean-Baptiste Dubié l’affirme : Il voulait arrêter le rugby avant l’arrivée de Christophe Urios
Jean-Baptiste Dubié l’affirme : Il voulait arrêter le rugby avant l’arrivée de Christophe Urios
Le mardi 7 décembre 2021 à 22:20 par David Demri
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Le trois-quarts centre de l’Union Bordeaux-Bègles, Jean-Baptiste Dubié s’est confié via « Poulain Raffûte » sur Rugbyrama.
Ce-dernier a notamment expliqué à quel point l’arrivée de Christophe Urios à Bordeaux-Bègles a été extrêmement importante pour le club mais également pour lui.
Il l’affirme : avant l’arrivée de Christophe Urios, il songeait à arrêter sa carrière de rugbyman après une saison qui s’était très mal terminée pour l’UBB.
Mais il a tout de suite été galvanisé par le discours de Christophe Urios.
Il ne manque pas de complimenter le manager Bordelais. Extrait:
« Christophe Urios, c’était la personne idoine pour Bordeaux. Jsute avant qu’il arrive, on fait une fin de saison catastrophique alors qu’on avait les cartes pour se qualifier. La saison venait de se terminer et il est venu nous parler avec ce discours. Moi, je voulais arrêter le rugby ! Mais j’avais envie de voir ce qu’il voulait mettre en pratique et son discours m’a tout de suite galvanisé. C’est sa force. Il arrive à fédérer les joueurs et le club tout entier. Quand tu gagnes, c’est encore plus facile de fédérer toute une ville. Il est paternaliste, il est très proche de nous mais il arrive à garder ses distances aussi. Il est autoritaire quand il le faut, il sait resserrer la vis, il nous a interdit nos bouffonnades. On vit bien à Bordeaux quand on gagne car on a un très bon groupe. Il a su nous canaliser et comprendre qui on est réellement, tout cela pour nous rendre meilleurs sur le terrain.
Je suis amoureux et passionné par le rugby. Pour moi, le rugby a toujours été un jeu avec mes copains. J’ai toujours eu cette chance depuis le plus jeune âge de jouer avec les copains, de gravir des échelons avec les copains, de passer pro avec les copains, d’intégrer un groupe à Bordeaux. On a tous évolué à titre individuel mais aussi collectif. C’est une chance. Je me sens ultra chanceux de vivre cela en tant que métier, mais c’est ma passion et je me régale tous les jours. On a eu un temps de chiotte aujourd’hui, on a fait un entrainement dans la boue et je me suis régalé ! »
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1 Commentaire
Mais , quelle erreur en plus aurais tu fait Jean-Baptiste !.. Tu ne pouvais pas passer à côté de tout cela . Très heureux pour toi , passionné !.. Et surtout régale toi et régale nous aussi !..