Mourad Boudjellal : « On ne sait toujours pas ce qu’il va se passer à Biarritz ! »

Mourad Boudjellal : « On ne sait toujours pas ce qu’il va se passer à Biarritz ! »

2 mai 2024 - 22:05

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Dans sa chronique « Mourad de Toulon » diffusée sur Eurosport, l’ancien président du Rugby Club Toulonnais, Mourad Boudjellal s’est confié sur le Biarritz Olympique.

Il explique que l’identité des investisseurs n’a toujours pas été dévoilée.

Concernant la dette de 6 millions d’euros du club Basque, il ne se dit pas surpris.

Il explique pourquoi. Extrait:

« On ne sait toujours pas ce qu’il va se passer à Biarritz. On ne sait pas par qui il est racheté ce club. Des bruits circulent. On parle d’un déficit de 6 millions d’euros. Moi, la seule chose que je sais, c’est que quand tu vends un club un euro, à priori, tu ne t’attends pas à retrouver six millions d’euros dans les caisses.

Donc il y a un déficit et ça me paraît normal car le club est vendu un euro. Si tu vas au resto et que tu as un menu à un euro, ne t’attends pas à avoir du caviar et du fois gras. Pour Biarritz, c’est pareil. Il y a un déficit certain mais qui est largement compensé par le prix de vente. C’est comme s’il n’y avait pas de déficit et que le président de Biarritz demanda

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2 Commentaires

  1. boom09 3 mai 2024 at 09h- Répondre

    çà fait des années voire des decennies que ce club est sous perfusion et vit au dessus de ses moyens ! A l’époque sous la présidence basque de CAMOU ,personne ne s’est soucié de la RELEGATION plus qu’arbitraire du RCT ? curieux de savoir s’ils vont passer le cap de la DNCAG ?

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  2. PatCracker 3 mai 2024 at 13h- Répondre

    Je le souviens d’une finale de challenge européen entre notre RCT et le BO, et le speaker télévisé nous disant avant le match « selon les dirigeants biarrots il leur faut à tout prix gagner sinon c’est la fin de leur club, en raison d’un déficit financier ».
    Et ce fut ainsi que le match fut arbitré par l’Irlandais parlant bien Français qui ne vit mème pas devant lui Yachvili faire mème un croc en jambe à notre numéro 9, comme quoi c’était bien prévu qu’il fallait à tout prix faire gagner pour enflouer le club « BO Pas Basque » comme affiché sur la devanture du stade par quelques Bayonnais taquins.

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