Paul Jedrasiak: « Je suis frustré, j’ai mal au cœur »

Paul Jedrasiak: « Je suis frustré, j’ai mal au cœur »

29 novembre 2015 - 13:44

6 Commentaires

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jedrasiakLe deuxième ligne Clermontois Paul Jedrasiak s’est exprimé devant la presse, samedi soir, après la lourde défaite de l’ASM contre le Rugby Club Toulonnais.

Ce-dernier avoue avoir mal au cœur et être frustré par cette rencontre. Extrait:

« Je vais rester chez moi, tout seul, dans le noir (rires). Non, il faut rester fiers. On perd lourdement. Mais je n’ai pas envie de faire tout ce speech sur la fierté du maillot etc… Ça fait chier de perdre devant notre public. Je n’ai pas trop de mots, vous n’allez pas faire de grands articles avec moi. Je suis frustré, j’ai mal au cœur. »

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6 Commentaires

  1. Sylbaro 29 novembre 2015 at 13h- Répondre

    Bon c ‘est bien mais dit plutôt la vérité : tu as mal au c.l tu as pris une féssée et c’est tout ….. LOL 😀 😀

  2. Doc83 29 novembre 2015 at 13h- Répondre

    Le digne successeur de Cudmore. Un futur grand je pense car il est encore jeune et en impose déjà par sa force et son jeu.
    Quand il veut il signe à Toulon 🙂

    • Cédric 29 novembre 2015 at 14h- Répondre

      Non on veut pas qu’il vienne chez vous!!!M’enfin s’il espère gagner des titres…va peut être bien falloir…

      • marcociti 29 novembre 2015 at 15h- Répondre

        Pourquoi « on veut pas »? Si tu me parlais de Parra ou Bardy, ok, ce sont deux putes, mais Jedresiak est jeune, montre de belles choses sur le terrain, et je vois mal ce qu’on peut lui reprocher dans ses propos.

  3. mazoil 29 novembre 2015 at 15h- Répondre

    a l age qu il a c est sur il va faire mal
    mon avis il faudrait que le staff fasse tourner autrement il va se cramer

  4. gebi831 29 novembre 2015 at 18h- Répondre

    Lui c’est un futur grand peut être, mais il vient du pays des « loosers » moui je n’en veux pas de ce jaunards, en plus sauf erreur il est à l’origine de l’échauffourée de la fin de match en marchant sur Suta. Chez nous on a Mikau Lassalle (qui va progresser n’en doutons pas)