Le troisième ligne du Rugby Club Toulonnais, Sergio Parisse s’est confié en conférence de presse pour évoquer la finale de Challenge Cup à venir contre Glasgow.

Ce-dernier indique que le groupe Toulonnais ne pense en aucun cas aux précédentes finales Européennes perdues récemment contre Bristol et Lyon.

Selon lui, cette finale n’aurai rien à voir avec les deux dernières finales perdues.

Il explique pourquoi. Extrait:

« Les finales perdues font partie du passé. On n’apprend pas forcément des défaites. Cette finale à venir n’a rien à voir avec la finale que nous avons perdu contre Lyon et encore moins de celle que nous avons perdu contre Bristol. Il y a des joueurs différents, le staff est différent. Quand tu es un joueur et que tu es compétiteur, tu joues une finale pour la gagner. On ne pense pas aux dernières finales perdues. Cette finale, il n’y a aucune pression supplémentaire car nous avons déjà perdu des finales. C’est un groupe différent avec un parcours différent.

Je suis content que l’on arrive en finale surtout avec notre parcours car tout l’effectif a joué contre Trévise et les Cheetahs notamment. Beaucoup de joueurs ont joué ces matches contrairement peut-être au Top 14. On voudrait arracher cette coupe. Concernant les finales perdues, ça ne change aucunement notre façon d’approcher la finale de vendredi. »

Dans la foulée, il explique pourquoi le groupe Toulonnais utiliser le mot « arracher » pour exprimer leur volonté de remporter cette Coupe d’Europe. Extrait:

« C’est Pierre Mignoni qui dit qu’il faut arracher cette victoire. Quand tu dis que tu vas l’arracher, c’est que nous n’avons aucun doute et nous sommes convaincus qu’on va gagner cette Coupe. Bien sûr que l’on joue cette finale pour la gagner. L’arracher, c’est que tu vas la prendre de n’importe quelle façon pour la ramener chez toi. C’est ça l’esprit. On veut avoir assez de conviction et cette détermination qui ne pose aucun doute dans la tête des joueurs pour ramener la coupe à Toulon. A chaque joueur de prendre ce mot et de l’interpréter à sa façon, mais en gros c’est ça le message. »