Le co-entraîneur des avants du Rugby Club Toulonnais, Richard Cockerill s’est confié en conférence de presse sur le match à venir contre le Stade-Français, ce dimanche soir à l’occasion de la 22ème journée du Top 14.

Ce-dernier s’attend à un match compliqué contre le Stade-Français, un club qui a connu des semaines mouvementées. Extrait:

« Le premier objectif est de s’imposer contre le Stade-Français. C’est un match important pour nous, pour le championnat. Le Stade-Français a connu beaucoup de problèmes ces-dernières semaines. Avec ce match contre Paris, on commence le travail pour Clermont. Le Stade-Français aura une grande motivation ce dimanche. Mais j’espère qu’elle sera également forte du côté de Toulon car on en a besoin. »

Le technicien Anglais est ensuite revenu sur la prestation de ses joueurs contre Grenoble. Il regrette bien évidemment la seconde mi-temps manquée. Extrait:

« Contre Grenoble, le début de match a été très bon. On leur met 17 points et c’est très bien. Mais après, on maque de concentration juste avant la mi-temps. Puis c’est très décevant à la fin. On en a parlé avec les joueurs et ils n’étaient pas contents. Mais on n’a pas d’excuse. Maintenant, on sait que les entraîneurs vont changer la saison prochaine donc on joue uniquement pour cette saison. On veut gagner le championnat cette saison ou la Coupe d’Europe. On sait que ce sera difficile à Clermont. »

Lorsqu’un journaliste lui demande si l’équipe Varoise n’est pas fragile mentalement, il dément. Extrait:

« Je ne pense pas que notre équipe soit fragile mentalement. On a perdu plusieurs joueurs lors des six dernières semaines, notamment les internationaux. Là, on retrouve Guirado, Halfpenny, Trinh-Duc et quelques autres joueurs de retour de blessure. On va pratiquer un jeu différent maintenant. On va être plus fort. Il faut rester positif, tout le temps. Tous les matches qui restent sont très importants. On est quatrième en Top 14 mais avec les matches en retard on est peut-être cinquième ou sixième. Donc tous les matches seront importants, week-end après week-end. »

Pour conclure, Richard Cockerill a fait un pari avec les journalistes présents en conférence de presse. Extrait:

« Si on perd, je vous paie le café la semaine prochaine. J’achète le café pour tout le monde. Et si on gagne, vous me donnez des gâteaux au chocolat. »