Toulon tient tête à Paris

Toulon tient tête à Paris

18 février 2012 - 19:04

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Le jeu
Les Toulonnais récompensés au bout du suspense. Poussés dans leur derniers retranchements par des Parisiens courageux en défense et excellents en conquête, les Varois ont été cherchés la match nul dans les arrêts de jeu de la rencontre sur la pelouse du Stade de France. Menés pendant une majeure partie de la seconde période, ils n’ont jamais lâché et se sont arrachés jusqu’au derniers instants pour rentrer avec deux points dans les valises. Une issue logique au vu de la débauche d’énergie consentie par les joueurs de Bernard Laporte pour revenir dans cette rencontre. Si l’entame de la rencontre était favorable aux Stadistes, les hommes du président Mourad Boudjellal ont fait preuve d’un réalisme froid pour prendre les devants par l’intermédiaire de leurs buteurs (Jonny Wilkinson puis Matt Giteau). Sans réellement produire du jeu, les Rouge et Noir ont sanctionné l’inefficacité des Parisiens et leur incapacité à faire fructifier leur mainmise sur le ballon dans le premier acte. Ils ont ainsi viré avec trois unités d’avance à la pause (6-9).
Mais dès le retour des vestiaires, les troupes de Michael Cheika se sont efforcées de mettre du rythme pour bousculer les Toulonnais et remettre dans l’ordre dans leur maison. Ultra dominateurs en conquête, avec une mêlée fermée extrêmement propre et de nombreux ballons volés sur alignement adverse en touche, les Parisiens ont été récompensés de leurs efforts sur un essai de Pascal Papé. Mais passés devant au tableau d’affichage pour la première fois de la rencontre, ils n’ont pas capitalisé sur cet avantage et ont laissé l’initiative du jeu au RCT. Malgré leur incapacité à s’appuyer sur des lancements de jeu propres, les Varois n’ont jamais abandonné leurs ambitions. S’ils ont longtemps buté sur une défense parisienne à l’efficacité retrouvée, ils ont fini par la faire craquer dans les arrêts de jeu, au grand dam des locaux et des 55 000 spectateurs ayant fait le déplacement à Saint-Denis. Par ce résultat probant loin de ses bases, Toulon confirme qu’il sera bien un candidat à suivre et qu’i se verrait bien revenir au Stade de France en juin prochain pour la finale du Top 14. Les Parisiens réalisent eux une mauvaise opération dans la course aux phases finales.
Les Parisiens
Pascal PAPE dans la lignée de ses prestations convaincantes de ces derniers mois. Les semaines se suivent et se ressemblent pour la deuxième ligne international français, irrésistible depuis la Coupe du monde, que ce soit en club ou en sélection. Précieux dans les alignements, combatif sur les rucks et puissant balle en main, il a encore été un maillon essentiel de l’édifice mis en place par le Stade Français. Il a même été récompensé de son activité par un essai. Appelé en renfort dans le groupe France pour pallier la blessure de Dimitri Yachvili, Julien DUPUY a surfé sur la confiance qui l’anime depuis plusieurs semaines. Il a rendu une très bonne copie dans son rôle d’organisateur, avec une bonne présence derrière ses avants pour fournir en ballons ses trois-quarts. Seul bémol : il a peiné à régler la mire au pied dans un premier temps, avec deux échecs de suite, avant de faire un sans-faute dans l’exercice par la suite (5/5). Dimitri SZARZEWSKI, qui devait être titulaire avec les Bleus contre l’Irlande samedi dernier avant que le match ne soit finalement reporté, a réalisé une prestation sans grand relief. Victime d’une béquille, le talonneur parisien a quitté ses partenaires par précaution dès le début de la seconde période.
Quatrième joueur retenu chez les Bleus, David ATTOUB a lui confirmé qu’il était en excellente forme, peut-être la meilleure de sa vie. Extrêmement solide en mêlée fermée, le pilier s’est également illustré dans le jeu courant. Omniprésent sur les touches défensives, où il a perturbé l’alignement toulonnais par son sens de l’anticipation, Pierre RABADAN a posé des problèmes aux Toulonnais par son expérience du haut niveau. En meneur d’hommes et de jeu, Sergio PARISSE a parfaitement cornaqué son paquet d’avants et a imposé le tempo à la rencontre. Dans la foulée de son doublé réussi à Bayonne la semaine passée, Paul SACKEY a encore démontré qu’il était de retour à son meilleur niveau et qu’il avait retrouvé toutes ses qualités de vélocité. Sur l’autre aile, Julien ARIAS a lui aussi réalisé du bon travail, avec application et sobriété.
Les Toulonnais
Steffon ARMITAGE héros du RCT sur la pelouse du Stade de France. Auteur d’une rencontre pleine dans tous les secteurs, le troisième ligne anglais a inscrit l’essai du match nul pour les Varois dans les arrêts de jeu de la partie. Il a ainsi été récompensé de ses efforts au terme d’un match où il a encore apporté toute sa puissance et son intelligence au jeu de son équipe. De retour dans la Capitale après son départ du Stade Français l’été dernier, son sosie Mathieu BASTAREAUD, qui est apparu sur le terrain avec une petite crète blonde dans les cheveux pour se distinguer, a fait mal à ses anciens partenaires. Il a souvent mobilisé deux voire trois adversaires pour le stopper et a toujours avancé balle en main. Virevoltant sur son aile, David SMITH a profité de quelques bons ballons de relancer pour s’illustrer et a déchiré le premier rideau défensif des Parisiens à plusieurs reprises. Il n’a cessé de créer le danger dans le camp adverse.
Passé à l’ouverture suite à la sortie sur blessure de Jonny WILKINSON, qui avait réalisé une entame de match intéressante, Matt GITEAU a bien suppléé l’ancien international anglais dans son rôle de meneur de la ligne de trois-quarts du RCT. Il a rendu une copie extrêmement propre. Solide dans les airs, présent sur tous les ballons hauts, Benjamin LAPEYRE a confirmé sa bonne forme actuelle. De retour à la compétition après 120 jours de suspension, Olivier MISSOUP est revenu comme si de rien n’était. Le troisième ligne toulonnais a participé aux 80 minutes sans baisser de rythme au cours de la rencontre. Titularisé en deuxième ligne pour la deuxième fois de la saison, Bakkies BOTHA a apporté toute son expérience et a été précieux dans la bataille des rucks. Auteur d’une entrée probante, Jean-Charles ORIOLI s’est illustré au talon, même s’il a eu du déchet sur ses lancers.

Le jeu

Les Toulonnais récompensés au bout du suspense. Poussés dans leur derniers retranchements par des Parisiens courageux en défense et excellents en conquête, les Varois ont été cherchés la match nul dans les arrêts de jeu de la rencontre sur la pelouse du Stade de France. Menés pendant une majeure partie de la seconde période, ils n’ont jamais lâché et se sont arrachés jusqu’au derniers instants pour rentrer avec deux points dans les valises. Une issue logique au vu de la débauche d’énergie consentie par les joueurs de Bernard Laporte pour revenir dans cette rencontre. Si l’entame de la rencontre était favorable aux Stadistes, les hommes du président Mourad Boudjellal ont fait preuve d’un réalisme froid pour prendre les devants par l’intermédiaire de leurs buteurs (Jonny Wilkinson puis Matt Giteau). Sans réellement produire du jeu, les Rouge et Noir ont sanctionné l’inefficacité des Parisiens et leur incapacité à faire fructifier leur mainmise sur le ballon dans le premier acte. Ils ont ainsi viré avec trois unités d’avance à la pause (6-9).

Mais dès le retour des vestiaires, les troupes de Michael Cheika se sont efforcées de mettre du rythme pour bousculer les Toulonnais et remettre dans l’ordre dans leur maison. Ultra dominateurs en conquête, avec une mêlée fermée extrêmement propre et de nombreux ballons volés sur alignement adverse en touche, les Parisiens ont été récompensés de leurs efforts sur un essai de Pascal Papé. Mais passés devant au tableau d’affichage pour la première fois de la rencontre, ils n’ont pas capitalisé sur cet avantage et ont laissé l’initiative du jeu au RCT. Malgré leur incapacité à s’appuyer sur des lancements de jeu propres, les Varois n’ont jamais abandonné leurs ambitions. S’ils ont longtemps buté sur une défense parisienne à l’efficacité retrouvée, ils ont fini par la faire craquer dans les arrêts de jeu, au grand dam des locaux et des 55 000 spectateurs ayant fait le déplacement à Saint-Denis. Par ce résultat probant loin de ses bases, Toulon confirme qu’il sera bien un candidat à suivre et qu’i se verrait bien revenir au Stade de France en juin prochain pour la finale du Top 14. Les Parisiens réalisent eux une mauvaise opération dans la course aux phases finales.

Les Parisiens

Pascal PAPE dans la lignée de ses prestations convaincantes de ces derniers mois. Les semaines se suivent et se ressemblent pour la deuxième ligne international français, irrésistible depuis la Coupe du monde, que ce soit en club ou en sélection. Précieux dans les alignements, combatif sur les rucks et puissant balle en main, il a encore été un maillon essentiel de l’édifice mis en place par le Stade Français. Il a même été récompensé de son activité par un essai. Appelé en renfort dans le groupe France pour pallier la blessure de Dimitri Yachvili, Julien DUPUY a surfé sur la confiance qui l’anime depuis plusieurs semaines. Il a rendu une très bonne copie dans son rôle d’organisateur, avec une bonne présence derrière ses avants pour fournir en ballons ses trois-quarts. Seul bémol : il a peiné à régler la mire au pied dans un premier temps, avec deux échecs de suite, avant de faire un sans-faute dans l’exercice par la suite (5/5). Dimitri SZARZEWSKI, qui devait être titulaire avec les Bleus contre l’Irlande samedi dernier avant que le match ne soit finalement reporté, a réalisé une prestation sans grand relief. Victime d’une béquille, le talonneur parisien a quitté ses partenaires par précaution dès le début de la seconde période.

Quatrième joueur retenu chez les Bleus, David ATTOUB a lui confirmé qu’il était en excellente forme, peut-être la meilleure de sa vie. Extrêmement solide en mêlée fermée, le pilier s’est également illustré dans le jeu courant. Omniprésent sur les touches défensives, où il a perturbé l’alignement toulonnais par son sens de l’anticipation, Pierre RABADAN a posé des problèmes aux Toulonnais par son expérience du haut niveau. En meneur d’hommes et de jeu, Sergio PARISSE a parfaitement cornaqué son paquet d’avants et a imposé le tempo à la rencontre. Dans la foulée de son doublé réussi à Bayonne la semaine passée, Paul SACKEY a encore démontré qu’il était de retour à son meilleur niveau et qu’il avait retrouvé toutes ses qualités de vélocité. Sur l’autre aile, Julien ARIAS a lui aussi réalisé du bon travail, avec application et sobriété.

Les Toulonnais

Steffon ARMITAGE héros du RCT sur la pelouse du Stade de France. Auteur d’une rencontre pleine dans tous les secteurs, le troisième ligne anglais a inscrit l’essai du match nul pour les Varois dans les arrêts de jeu de la partie. Il a ainsi été récompensé de ses efforts au terme d’un match où il a encore apporté toute sa puissance et son intelligence au jeu de son équipe. De retour dans la Capitale après son départ du Stade Français l’été dernier, son sosie Mathieu BASTAREAUD, qui est apparu sur le terrain avec une petite crète blonde dans les cheveux pour se distinguer, a fait mal à ses anciens partenaires. Il a souvent mobilisé deux voire trois adversaires pour le stopper et a toujours avancé balle en main. Virevoltant sur son aile, David SMITH a profité de quelques bons ballons de relancer pour s’illustrer et a déchiré le premier rideau défensif des Parisiens à plusieurs reprises. Il n’a cessé de créer le danger dans le camp adverse.

Passé à l’ouverture suite à la sortie sur blessure de Jonny WILKINSON, qui avait réalisé une entame de match intéressante, Matt GITEAU a bien suppléé l’ancien international anglais dans son rôle de meneur de la ligne de trois-quarts du RCT. Il a rendu une copie extrêmement propre. Solide dans les airs, présent sur tous les ballons hauts, Benjamin LAPEYRE a confirmé sa bonne forme actuelle. De retour à la compétition après 120 jours de suspension, Olivier MISSOUP est revenu comme si de rien n’était. Le troisième ligne toulonnais a participé aux 80 minutes sans baisser de rythme au cours de la rencontre. Titularisé en deuxième ligne pour la deuxième fois de la saison, Bakkies BOTHA a apporté toute son expérience et a été précieux dans la bataille des rucks. Auteur d’une entrée probante, Jean-Charles ORIOLI s’est illustré au talon, même s’il a eu du déchet sur ses lancers.

Source: rugby365.fr

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  1. Guillaume 18 février 2012 at 20h

    Pour faire simple: Armitage est tout simplement la meilleure recrue de l'année, Un Smith V.2, avec des appuis de dingues.

    Bémol: La touche, catastrophique…

    • diarmaid 19 février 2012 at 03h

      Plus classieux Smith …. Mais armitage quel joueur!!! Un physique moyen avec un mental et une vision du jeu aussi bien défensive que offensive…. La meilleure recrue 2011 pour moi…

  2. Trompette 18 février 2012 at 20h

    Mention Spéciale pour Botha qui a su garder son calme et n'a pas mis sa main dans la tronche de Papé, même si ça dû le titiller…

  3. jacky le corse 18 février 2012 at 20h

    Je te rejoins GUILLAUME , quand tu vas enfin regler ce problème , tu vas faire très très mal !!!!

    mais il va falloir travailler dur !!!!

    croisons les doigts pour WILKO

  4. jfifi83 18 février 2012 at 20h

    c est impensable a ce niveau de perdre autant de touche !!!!! on se remet la pression de longue !!! a part ca ecouter etcheto de l ubb sur berdos !!!!!!! 😉

  5. baptiste 18 février 2012 at 20h

    Superbe armitage la classe et la bonne humeur et que dire du passage de Giteau en 10 quel animateur,on a retrouvé le smith qu'on aime par intermitence,un basta solide,tout comme lapeyre à l'arriére,.Ppour les moins Tillous bordes ,Ppalisson transparent et loin de loamanu à mon gout ,je rajouterai Azam en tant qu'entraineur des avants car malgré que personne ne décoit dans le jeu la mélée est toujours faible et la tuoche je préfère pas en parler.Par contre peu de fautes et une défense collective bien en place qui nous a laissé dans le match.

  6. cristo83 18 février 2012 at 20h

    j'avais deja remarqué un certain parti pris de Thomas Castagnède quand il commentait Toulon, mais il y a juste a regarder sa tete a la fin du match pour comprendre a quel point il nous aime pas…

  7. cristo83 18 février 2012 at 20h

    superbes commentaires d'apres match d'Etcheto apres le match contre Montpellier… Mais avec des mots de Franchouillard…lol

  8. joker 18 février 2012 at 20h

    j ai remarqué la mm chose au sujet de la tete de castaignéde à la fin du match !!!!!!!!!!

    j ai aussi lu l article d etcheto qui dit s etre fait voler le match !!! et je vous le donne en mille…émile…le nom de l arbitre commence par un B. avec comme prenom christophe !!!!!!!!!

    serait il l arbitre à la botte des instances rugbystiques ????????????????????????

  9. eric.7283 18 février 2012 at 20h

    oui,trompette,depuis le début j arrête pas de dire que botha n est pas le dingue que l on dit.IL A JUSTE une mauvaise image mais il est rarement mis dehors par l arbitre.

    POUR ce qui concerne la mêlée, c est l entrée de demalmanche qui change la donne. quand tu as un talon de 120kg qui a une puissance de folie,tu ne recule jamais!

    et en plus il lance super bien?LUI!

    alors quand on veut me faire croire qu ivaldi est un futur géant de poste…FRANCHEMENT,je rigole tellement c est ridicule! vous croyez vraiment qu on peut voyager avec un talon de 90KG.

    JE sais qu il n a pas joué aujourd hui,heureusement car je ne l imagine pas face à demalmanche.

    Je n ais rien contre lui,je ne veux pas dire de mal d un joueur mais à un moment faut arrêter de ce raconter des histoires et voir ce qu est un talon de classe mondiale et un talon moyen.

    N EN déplaise à certains qui vont dire que je me trompe.

  10. Antoine83 18 février 2012 at 21h

    On ne pourra pas tenir le cap avec ces 3 talonneurs : bons dans le jeu, mais Bruno ne tient plus qu'une mi-temps et ses remplaçants n'ont pas (encore) le niveau du haut du Top 14, en tous cas montrent des lacunes au lancer inadmissible à ce niveau. Ce n'est pas pour rien que nous avions fait signer un pré-contrat à Servat qui malheureusement pour nous a décidé de mettre fin à sa carrière et d'entraîner les avants de Toulouse. À mon avis Le président et son manager vont se mettre très rapidement à la recherche d'un talonneur de niveau international !!

  11. Rciti 18 février 2012 at 21h

    Moi j ai trouve orioli meilleur que Bruno… 😮

  12. eric.7283 18 février 2012 at 21h

    MALHEUREUSEMENT,avec la non venu de servat,il n existe pas de talonneurs de niveau international qui soit JIFF.

    SI on veut un gros calibre mondial,il faudra prendre un étranger.

    FAUDRAIT QUE LAPORTE NOUS TROUVE un autre demalmanche (dire que c est lui qui l a recruté).

  13. RABOLIO 18 février 2012 at 22h

    Quelle belle image, que nos deux vieux percherons côte à côte avant d'entrer en mêlée, quels gaillards !

  14. Joël 18 février 2012 at 23h

    Castagnède a joué au centre dans les années 90 mais il n'aurait pas pu jouer maintenant, sa mère n'aurait pas voulu, des fois que Bastareaud le gros méchant s'en fasse un rouleau de saucisse… Il faut quand même lui rendre cette justice qu'au pipeau il craint dégun.

  15. starlette 19 février 2012 at 10h

    personne n'a vu l'écran d'arias sur missoup??????

    :mrgreen: au moment où sackay ramasse le ballon sur le bord de la touche missoup plaque arias à la place de sackay et péchambert est à un mètre de l'action et l'arbitre de centre à 3 mètres et tout deux ont les yeux rivés sur l'action.

  16. Seb` 19 février 2012 at 10h

    J'verrais bien un Duplessis ou Britz en talon, ça nous changerait la donne..

    Sinon, Armitage, quel joueur.. La classe ! Pendant 80 minutes, il lâche rien, se démonte et démonte tout sur son passage ! Le digne successeur de George.

    Puis Giteau, quel dynamiteur/animateur et véritable poison pour les défenses adverses.

    Je regrette qu'une seule chose, qu'on fasse pas trpo jouer nos arrières. Bastareaud a du toucher 5 ballons, et Palisson, 2. Quel dommage !

  17. eric.7283 19 février 2012 at 11h

    DIAMOND, armitage un physique moyen?!!

    il fait quand même 107kg. même si il n est pas très grand,il a un bon gabarit.

    MAIS oui,il est à coup sûr notre meilleur recrue,j ajoute aussi botha et giteau,et même shaw qui tiens la baraque quand il est sur le terrain.

  18. RABOLIO 19 février 2012 at 19h

    La tronche à SAKEY, quand Diamond l'a reprit, non seulement il est puissant, mais à une vitesse de course impressionnante et je ne parle pas du coffre, au moins 3 poumons .

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