Toulouse veut se séparer d’un joueur avec effet immédiat !
Toulouse veut se séparer d’un joueur avec effet immédiat !
Le vendredi 11 octobre 2024 à 11:25 par David Demri
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Selon les informations du journal L’équipe, le Stade-Toulousain souhaiterait se séparer d’un joueur avec effet immédiat.
Ce joueur, c’est le pilier international Néo-Zélandais Nepo Laulala.
Sous contrat avec Toulouse jusqu’au mois de juin 2026, le joueur des Blacks s’est gravement blessé la saison dernière.
Victime d’une rupture du tendon d’Achille, le Néo-Zélandais n’a que très peu joué avec Toulouse depuis son arrivée au club.
Et selon L’équipe, il se pourrait que Nepo Laulala ne puisse jamais rejouer.
Par conséquent, le Stade-Toulousain chercherait actuellement une solution pour se séparer de Nepo Laulala avant la fin de son contrat, à savoir le mois de juin 2026.
Affaire à suivre…
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8 Commentaires
On achève bien les chevaux…
C’est vache ce que je vais dire mais j’assume. J’espère que Laulala va leur faire une Biggar et aller au bout de son contrat. Je sais c’est pas cool de leur souhaiter cela mais bon on se sentira moins seul comme ça
D’autant que c’est l’assurance du club et la CPAM qui payent.
Peut-être aussi que le joueur, qui est seul sans sa famille, veut repartir au plus vite chez lui, et c’est bien normal.
Tu t’imagines joueur à l’autre bout du monde, sans parler la langue et peut-être sans apprécier le cas saoulé, sans ta famille et en plus sans pouvoir jouer.
La dépression ne doit pas être bien loin.
Oui enfin on l´a pas forcé non plus…
Toulouse jette les joueurs comme des kleenex
Ce club n a aucune âme aucun sentiment
Tu es sérieux ? Y a pas beaucoup de club où les joueurs se sentent vraiment en famille, comme c’est le cas au stade toulousain. Pas pour rien que les joueurs y font souvent leur carrière entière ou restent de nombreuses années et intègrent ensuite l’encadrement. C’est bien méconnaître le club que de dire ça.
Anenath tu t’en aperçoit maintenant on est comme ça dans le sud ouest…..
D’ailleurs,ne vient pas dans le sud ouest on te fera pareil…(ou pire…)