Le responsable de la lutte antidopage s’exprime au sujet des contrôles du Racing 92

Le responsable de la lutte antidopage s’exprime au sujet des contrôles du Racing 92

7 octobre 2016 - 8:12

9 Commentaires

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racingAprès que Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff aient été contrôles positifs aux corticoïdes lors de la dernière finale du Top 14 contre le Rugby Club Toulonnais, le quotidien L’équipe s’est entretenu avec le responsable de la lutte antidopage de la FFR, Christian Bagate afin de nous aider à comprendre une affaire qui s’annonce complexe.

Ainsi, ce-dernier a expliqué qu’il existe actuellement une faille dans les règlements internationaux, autorisant ainsi les traitements sans AUT. Extrait:

«C’est l »Agence Mondiale Antidopage qui autorise ces traitements sans AUT. On a le droit de se soigner avec certains médicaments. Il y a une brèche dans les règlements internationaux, nous n’y pouvons rien, c’est un souci mis en exergue dès le départ avec les Anglo-Saxons, qui ont été un peu plus larges sur le sujet des AUT. On permet à des gens de jouer en étant soignés. Les corticoïdes par voie orale sont interdits, pas ceux en injection péri-articulaire. C’est là toute la difficulté des différents dossiers. On a le droit de faire une infiltration pour parler couramment.»

 

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9 Commentaires

  1. aue.luc 7 octobre 2016 at 08h- Répondre

    Les medias étaient tombés sur Steffon pour du dafalgan codéiné pour une prise médicale autorisée et parfaitement expliquée et justifiée, déclarée auprès des instances. Le truc en béton.

    Là, 3 joueurs (pas un qui a chopé un truc, non, 3 titulaires sur 15) qui bénéficient d’injections de corticoïdes (très utilisés pour le dopage), mais pas grave, c’est rien.

    • Fafa2a 7 octobre 2016 at 10h- Répondre

      J ai repris ton pst pour le mettre sur le rugbynistere. Dsl du vol mais tu disais exactement ce que je pensais en mieux et non vulgaire lol

  2. Niedda 7 octobre 2016 at 08h- Répondre

    De qui se moque t’on? Si c’était des Toulonnais, on nous aurait déjà fusillé. Honte à ceux qui trichent.
    Aller Toulon.

  3. Cagagne 7 octobre 2016 at 08h- Répondre

    La aussi tout est dit . En bref on a le droit à des infiltrations de corticoïdes et en plus avec les autorisations délivrées a posteriori.
    On nous aurait menti? On nous aurait dopé a l insu de notre plein gré?

  4. boom09 7 octobre 2016 at 08h- Répondre

    on comprend peut-être pourquoi ?ces 3 joueurs sont utilisés avec parcimonie depuis le début de saison !et pourquoi le racing est moins performant ? ce n’est pas le fait d’avoir repris tardivement ?méme si le RCT a été à coté de ses pompes en finale !ces 3 JOUEURS ont fait gagner le RACING !ils sont souvent blessés en ce début de saison ? que de COINCIDENCES !

  5. PatCracker 7 octobre 2016 at 08h- Répondre

    Comme on ne pourra jamais savoir si c’est par voie orale, par injection ou par le trou de balle que c’est rentré, et bien ils généralisent en disant connement, « mais ce n’est qu’une infiltration tout à fait règlementaire… »

  6. Marco 7 octobre 2016 at 09h- Répondre

    C’est pas parce qu’on s’était fait pourrir par les médias à cause de Steffon Armittage qu’ils doivent faire de même pour le racing, faut être un peu honnête quand même et attendons les conclusions

    • aue.luc 7 octobre 2016 at 09h- Répondre

      Steffon avait donné son autorisation avant contrôle. pas des mois après. Et il s’agissait d’un joueur autorisé à jouer, pas 3 qu’on découvre chargés après coup. Enfin, pas le même produit du tout. D’ailleurs, 3 joueurs, 1 même produit? Non, pas suspect du tout, ils avaient tous le même besoin.

      • Blindness 7 octobre 2016 at 11h- Répondre

        Steffon n’a jamais présenté d’AUT puisse que ce n’est pas nécessaire pour les dafalgans. Ils ne sont pas sur la liste des produits dopant. Je ne vois pas pourquoi tu racontes qu’il a présenté une autorisation.

        Il a pris le dafalgan pendant le match suite à un choc avec Dusautoir … C’est ce qu’il a déclaré sauf que le taux de morphine ne correspondait pas, normal il en avait aussi pris pendant la semaine. Chose qu’il a oublié de dire, ni plus, ni moins.