Beka Gigashvili se confie avant de défier Pau avec le Rugby Club Toulonnais

Beka Gigashvili se confie avant de défier Pau avec le Rugby Club Toulonnais

18 février 2021 - 19:18

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Le pilier droit du Rugby Club Toulonnais Beka Gigashvili s’est longuement confié dans les colonnes du journal régional Var-matin pour évoquer son retour au sein du club et la préparation du match à venir contre Pau, programmé samedi après-midi à l’occasion de la 17ème journée du Top 14.

Dans un premier temps, l’international Géorgien s’est exprimé sur sa concurrence avec Emerick Setiano au poste de pilier droit. Extrait:

« On nous pose souvent la question, à lui ou à moi, sur notre concurrence. Mais on se sent très bien tous les deux. Ça tire tout le monde vers le haut. On apprend toujours quelque chose l’un de l’autre. Que ce soit lui qui commence le match ou moi, tout se passe bien. On se sent bien ensemble. C’est un très bon joueur qui travaille beaucoup et progresse. Ça me motive aussi. »

S’il apprécie parler des performances d’Emerick Setiano, en revanche, il se montre très discret quand il s’agit d’évoquer ses propres performances. Extrait:

« Je n’aime pas trop parler de moi. Je ne sais pas si j’ai fait quelque chose de particulier, mais je travaille tout le temps. C’est ma nature. J’aime mettre l’accent sur ce que je peux améliorer. C’est peut-être ce travail qui paie aujourd’hui. »

Par ailleurs, Beka Gigashvili concède que le RCT traverse une période compliquée avec l’absence de nombreux joueurs. Il espère que le groupe sera capable de se relever et d’aller chercher une victoire sur la pelouse de Pau. Extrait:

« C’est une période difficile, nous devons retrouver notre force. Je pense que nous pouvons gagner là-bas. Ça nous ferait du bien de gagner à l’extérieur. Mais Pau est une belle équipe, chez elle notamment. Mais j’ai confiance dans notre groupe pour rebondir. »

Pour conclure, l’international Géorgien explique ne pas être un grand parleur. Il préfère agir. Extrait:

« Moi, je préfère ne pas parler beaucoup et faire le boulot (rires). Je ne dis pas que ceux qui prennent la parole ne sont pas des travailleurs, attention ! Mais même si c’est toujours une possibilité, je ne suis pas du genre à parler comme ça. »

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