Frédéric Michalak pense toujours pouvoir rejouer en équipe de France

Frédéric Michalak pense toujours pouvoir rejouer en équipe de France

Le lundi 1 février 2016 à 9:51 par David Demri

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michalakLors d’un entretien accordé au Figaro, Frédéric Michalak a évoqué la suite de sa carrière. Le demi d’ouverture de Toulon a également abordé l’échec des Bleus lors de la dernière Coupe du monde.

Interviewé par Le Figaro, Frédéric Michalak a avoué ne pas avoir imaginé une telle fin avec les Bleus. « Avec les copains de l’équipe de France, nous n’étions pas préparés à une fin comme celle-là… (ndlr : défaite en quart de finale 62-13 contre la Nouvelle-Zélande). On est rentrés avec des regrets, confie l’ancien Toulousain. Le plus dur a été de revenir à la réalité après une longue préparation de quatre mois qui nous avait conditionnés dans l’idée de gagner. » Le joueur du RCT a expliqué avoir souffert psychologiquement de cet après-Mondial. « Personnellement, en rentrant, j’étais ‘au fond du seau’. Ma femme et mes enfants ont tout fait pour me rendre le sourire, assure-t-il. Cindy m’a dit : ‘Tu as une semaine pour bouder !’. Elle a su trouver les mots et a été mon meilleur coach mental. J’ai donc boudé une semaine avant de commencer à remonter… »

« On ne peut jamais vraiment fermer la porte de l’équipe nationale »

Après avoir annoncé sa retraite internationale à la fin du Mondial, le demi d’ouverture n’a pas totalement fait une croix sur la sélection. « Après le Mondial, j’ai voulu me dire que je mettais de côté la sélection. C’était important de le faire et de le dire. Mais, bon, on ne peut jamais vraiment fermer la porte de l’équipe nationale, assure le demi d’ouverture de Toulon. Je joue depuis l’âge de 18 ans pour prétendre à la sélection. Un joueur ne décide pas comme ça, c’est impossible. » Si l’occasion s’en présentait en cas de divers forfaits, Michalak pourrait rendre service à son ancien entraîneur au Stade Toulousain, même s’il préfère laisser la place à la nouvelle génération. « On verra à ce moment-là si la question se pose. Aucun joueur ne dit « non » à l’équipe de France. Mais à 33 ans, c’est bien de laisser sa place aux jeunes, ajoute l’ancien joueur des Sharks. Et le XV de France doit se projeter sur quatre ans, voire huit ans. Ce n’est pas moi qui vais aider le rugby français à évoluer sur le terrain, lors de cette période. »

Source: rugby365.fr

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1 Commentaire

  1. Winawin 1 février 2016 at 16h- Répondre

    Là, tu rêves un peu quand même …