La Ville de Biarritz coupe l’électricité au BO ! Aldigé va-t-il craquer ?
La Ville de Biarritz coupe l’électricité au BO ! Aldigé va-t-il craquer ?
20 juin 2022 - 23:55
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Rien ne va vraiment plus du tout entre la mairie de la Ville de Biarritz et les dirigeants du Biarritz Olympique.
Comme le révèle Le Figaro ce lundi, la Ville de Biarritz a décidé de couper l’électricité au club Basque.
Ce lundi matin, à huit heures, l’électricité a été coupée dans les bureaux du club Biarrot.
Pendant environ quatre heures, le Biarritz Olympique a été privé d’électricité.
Pourquoi une telle coupure ? Tout simplement parce que la mairie de Biarritz demande au club de désormais prendre en charge les facture d’électricité.
Ainsi, dès le 18 juillet prochain, la Ville de Biarritz ne paiera plus l’électricité au club. Ce n’est pas tout puisque la municipalité a également décidé de cesser de prendre en charge l’entretien de la pelouse du stade Aguilera.
C’est un coup de massue pour le président Jean-Baptiste Aldigé puisque deux employés municipaux venaient quasiment tous les jours pour cultiver la pelouse, équipés de tracteurs et de tondeuses.
Le Biarritz Olympique va donc devoir sortir le chéquier pour prendre en charge ces dépenses qui étaient prises jusqu’à présent par la Ville.
Pour rappel, via ces méthodes agressives, la Ville de Biarritz tente de faire partir la direction du club Basque.
Jean-Baptiste Aldigé va-t-il finir par craquer et par céder ? Affaire à suivre…
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Pendant que des joueurs mouillent la liquette pour leur club, les bureaucrates cultivent des champs de conneries à l’image des élites de notre pays. La mairie veut vendre le parking en terrain à bâtir ou quoi?
Non mais faut suivre un peu l’histoire. Aldige a pris la mairesse pour ce qu’elle n’est pas. Donc la ville a dis stop.
Mauvaise analyse des rapports de force et de l’intimidation. Quand tu vas raconter que tu vas délocaliser a Lille tes matchs de Challenge…faut pas t’attendre a un retour de coopération…
En résumé : faut pas mouiller la biquette vu le prix de l’immobilier
Voudra, pardon
« Pour rappel, via ces méthodes agressives, la Ville de Biarritz tente de faire partir la direction du club Basque. »
C’est faux la mairie tente de faire appliquer le contrat qui a été passé entre le BOBP et la mairie, a savoir en contrepartie d’un loyer extrêmement faible le BO doit prendre en charge l’entretien des installations ainsi que les factures c’est tout…
Drôle de méthodes la mairie quand même, si il part Aldige, le club coule en Fédéral mais on s’en fout c’est ça ? Qui va racheter un club comme ça ? Personne.
Je suis Aldigé, je ne mets plus un sous et je laisse le club dépérir, rien à cirer. Tu te fais une petite équipe de fédéral, tu gardes ton pognon.
De toute façon, même si il vend, rien ne dit que le prochain sera en accord avec la mairie, après tout ils ont aucun droit de regard sur le club, c’est professionnel maintenant. Tu peux avoir un américain qui se fait plaisir et qui envoie bouler la mairie car il a plein de pognon, qui construit son stade dans une ville voisine et la mairie de Biarritz pleurera encore plus.
Pas sûr d’après ce que j’ai compris donc avec réserve ce sont des anciens joueurs qui reprendraient le club. Aldige est le pantin de la famille Gave qui finance et dont la mairie le soupçonne de mauvaises intentions immobilières. Ce club est devenu un nid de vipères, du coup je comprends les bayonnais d’avoir refuser la fusion, même si la raison majeure était identitaire.
Si c’est acté que c’est à partir du 18 juillet que la mairie ne paie plus les factures, alors pourquoi elle vient faire chier celle là.
Apparemment c’est Aldigé qui n’accepte pas. Comme dit plus haut, c’est à lui à payer, mais il ne veut plus. Il veut un loyer très bas TTC.
Les règles sont les mêmes pour tout le monde: bail emphytéotique = loyer très modéré = factures et entretien des lieux à la charge du locataire.
Aldigé veut le beure, l’argent du beure, le sourire et l’argent de la crémière alors qu’il ne fait que l’insulter tous les quatre matins. Faudra bien qu’il comprenne que ça marche pas comme ça.