Pierre Mignoni se confie sur les blessés du RC Toulon

Pierre Mignoni se confie sur les blessés du RC Toulon

Le samedi 20 mai 2023 à 1:03 par David Demri

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Le technicien du Rugby Club Toulonnais, Pierre Mignoni a exprimé sa joie via L’équipe à l’issue de la victoire de ses joueurs contre Glasgow en finale de la Challenge Cup, ce vendredi soir à Dublin.

Ce-dernier explique comment son équipe a réussi à construire cette victoire importante. Extrait:

« Je suis très heureux pour les joueurs, bravo à eux, c’est mérité ce soir.

On avait envie de bien démarrer le match, Glasgow est une équipe très offensive, notre défense devait être en place, elle l’a été. On a plutôt dominé les débats, on les a mis sous pression et on a marqué très vite. À la mi-temps, les joueurs se sont pris en main. Même si on a eu un peu de difficulté par moments, on a su revenir et finalement ne pas laisser d’espoirs à Glasgow.

Effectivement, on construit avec des titres. C’était important que le groupe se paye, il mérite de se payer ce soir. Pour l’avenir, on a beaucoup de travail, on va s’atteler à rééquilibrer notre effectif. On va continuer, bien travailler, bien construire. Ce titre n’est qu’un début. Je suis fier pour ce groupe. On a été beaucoup critiqués, certainement à juste titre, mais ce trophée-là est important, Toulon est le seul club français à avoir gagné les deux compétitions européennes. Ce groupe l’a fait. Il a marqué l’histoire du club. Ce titre compte beaucoup. J’entends dire qu’un titre comme ça ne compte pas. C’est soit qu’on a oublié, soit qu’on n’a jamais joué. Celui-là est un gros départ. »

Dans la foulée, Pierre Mignoni s’est confié sur les nombreux blessés du groupe Toulonnais. Extrait:

« Je ne peux pas dire encore exactement ce qu’ont eu les uns et les autres. Il y a eu des commotions (Duncan Paia’aua, Dan Biggar, Gabin Villière), une blessure au genou pour Baptiste Serin. On n’avait pas trop prévu ce scénario avec ces blessures, mais mes joueurs sont restés calmes, Basta a fini au centre, on n’était pas inquiet non plus. C’était important de ne pas s’affoler. »

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