Gerhard Vosloo quittera Toulon le 15 novembre et affirme être prêt à faire la guerre

Gerhard Vosloo quittera Toulon le 15 novembre et affirme être prêt à faire la guerre

15 août 2015 - 16:44

3 Commentaires

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voslooLe troisième ligne Gerhard Vosloo a prolongé avec le Rugby Club Toulonnais en tant que joker Coupe du monde.

Dans les colonnes de La Provence, l’ancien joueur de Clermont annonce qu’il quittera le RCT le 15 novembre prochain, et qu’il se mettra alors en quête d’un nouveau club, sauf si Toulon le prolonge. Extrait:

« Ce n’est pas une situation difficile à gérer, c’est la vie. S’il n’y a pas de joueurs blessés qui pourraient me conduire à éventuellement prolonger, je me mettrai en quête d’un autre club. En tout cas, j’ai encore envie de jouer. Je ne veux vraiment pas revivre la saison que j’ai passée l’an dernier. Je veux continuer à écrire mon histoire. S’il y a un autre club qui cherche un troisième ligne, je suis en forme. Je suis prêt à faire la guerre ! Je suis en super condition. De toute façon c’est comme ça, plus je joue, mieux je me porte ! C’est dans mon tempérament, c’est ma personnalité. Je ne me fixe aucune date butoir pour arrêter. »

Questionné sur l’absence de nombreux internationaux pour le début de la saison, Gerhard Vosloo affirme ne pas être inquiet. Il est certain que le RCT saura s’en sortir. Extrait:

« Ce n’est pas inquiétant du tout car le club a engagé beaucoup d’éléments de qualité. Mourad, Bernard et le staff savent parfaitement ce qu’ils veulent faire. Quant à l’intégration des nouvelles recrues, elle s’opérera naturellement comme cela a toujours été le cas dans ce club par le passé. Vous savez, quand vous arrivez pour la première fois dans le stade Mayol, vous vous acclimatez instantanément au RCT ! »

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3 Commentaires

  1. seb-83200 15 août 2015 at 18h- Répondre

    Quel guerrier ! Fais tout péter gerhard 😀

  2. Iolo 15 août 2015 at 20h- Répondre

    Un grand homme toujours les mots juste

  3. Xxxav 15 août 2015 at 20h- Répondre

    Le guerrier, le vrai.
    Jamais décevant.
    même si je conçois qu’il ait du mal à se faire sa place, je serai blasé quand il partira…